Dentiste à Toulouse

Comment trouver un dentiste à Toulouse, qui pourra vous suivre régulièrement, et non pas se contenter d’intervenir une fois que l’état de vos dents est devenu catastrophique…

Dentiste Implants

Pour les dentistes, un implant correspond à une spécialisation dans leur domaine. La plupart d’entre eux sont capables de pratiquer un implant, car c’est aujourd’hui l’une des meilleures manières de repousser le recours au dentier, voire de l’éviter. Pour un dentiste, un implant représente donc une solution d’avenir, qui a toutes les chances d’être de plus en plus pratiquée.

Mais comment choisir un dentiste pour un implant ? Si un dentiste propose de lui-même la pose d’un implant, c’est a priori qu’il se sait capable de la pratiquer. S’il existe une bonne relation de confiance entre dentiste et patient, il n’y a donc aucune raison d’aller chercher plus loin. Mais, même pour un dentiste, un implant est un acte demandant rigueur et précision, et si le patient n’a pas une absolue confiance dans son médecin, il peut être judicieux de prendre un deuxième avis.

Pour certains dentistes, l’implant est une spécialisation exclusive. Les cas les plus courants peuvent être traités par à peu près n’importe quel dentiste. En revanche, lorsqu’un implant a déjà échoué une ou plusieurs fois, ou lorsque le recours à un peu de chirurgie esthétique semble nécessaire, l’opération aura de meilleures chances de réussites si elle est réalisée par un spécialiste de l’implant. Dentiste et implant feront ainsi particulièrement bon ménage dans les cliniques dentaires.

Bien que les dentistes prônent l’implant comme la meilleure réponse pour remplacer une dent endommagée ou dévitalisée, il s’agit encore de soins extrêmement mal remboursés. Les scanners à effectuer au préalable ne sont absolument pas pris en charge, et le reste de l’acte, qui peut facilement dépasser les 2500 euros de facturation, ne sera souvent pas plus remboursé… Ainsi, bien choisir son dentiste pour son implant est également indispensable d’un point de vue économique : un échec ne sera pas remboursé, ni par le praticien (sauf cas exceptionnels !), ni par la sécurité sociale ou les mutuelles.